Le temps, le temps manque pour contempler
Toutes les beautés de la vie forgées
A Gaia, aux reliefs des différences
A la recherche de liberté, fou
Parmis ces sages, sur la montagne
A se poser, sans notion d'errance
Je me vois inspirer depuis le nous
Aux profondeurs d'horizons sans doute,
Oublier tout concepte de bagne
Dans les "silences", loin d'idées épigones
A ma bulle de songe je fais route,
Contemplant la lumière opalescente d'ether
Elle repousse la néant, le vide,
Fait d'ombres des arcs-imaginaires,
Donne force qui ne prendra ride
Hors du temps, hors de tout, du bal sociale,
Les traces de mes pas derrière, chaussures à côté,
Respire l'air de liberté ouvert le cristal
Du coeur à l'amour je m'en vais songer,
De cet amour si fort, que nul ne peut briser,
Venir dérober, restant à la saison éternel
Du coeur à "l'utopie" de la paix
Je m'en vais placer du vert en ce payasage
Où le mal s'en ira battre de l'aile
Du coeur à l'univers je m'en vais donner,
Trouver en toute simplicité ma place,
Les bras d'une femme, les bras de la vie
Loin de tout ça, loin de toute perdition,
Sans aucune chute, sans aucun orage,
Brisant de l'indiférence la glace... 1 er Mai 2002 (écrit pour l'atelier de www.auquotidien.be.tf)
|