A l'Aube,
Le chant d'or de l'astre éveillé,
S'en va au coeur les combler,
Chatouiller les souffles serrés
Des mains à la terre données.



Du midi,
Aux paysages nés à lumière plaine,
Se soustraient les sueurs en peine
Pour les sens des papilles devenues reines
Rassasier, de l'âme au corps les chaînes.



Le soir,
A l'or qui s'en va à l'horizons,
Le chant se fait mélopée, de sa prison
Avec les étoiles s'évade hors saison
L'astre dormant, Oh ! grâces des passions.



Les voyageurs de la vie,
Dans la valse de la ronde, suivent des pas,
Qu'en oraison les poètes(ses) effleurent de la voie,
Cherchant leur moitié au milieu de tout ça,
Forgeant des amitiés qui fleurissent, de la vie au repas...

 

                                   

© Pascal Lamachère

 




 

 

 

 

 


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