Hypocrisie totale
Toujours lorsque m’atteint le réveil gracieux,
Oh mon aimé je ne cherche que tes doux yeux,
Irrésistiblement pour y mettre le feu !
Mais devant l’éternel tu es toujours absent.
Oh mon adoré ce désir est si pressent,
N’abandonne pas cet espoir agonisant !
En toi mon cœur parvient à lire l’apogée,
N’efface pas ces douces paroles échangés,
Non, tu ne peux me laisser tel un naufragé !
En moi scintille cette grande flamme astrale,
Mon âme te poursuit sans aucune morale,
Il le faut, sois ma fleur, je serais ton pétale !
lundi 28 janvier 2002