La passante

 

 

Je la recroise, sur ma route,

Celle qui fait battre mon coeur,

Celle qui marque mon âme au fer rouge,

Dont, je ne peux effacer la douleur.

J'imagine ma vie qui se déroule,

Avec elle comme une douceur.

Ses lèvres muettes arrêtent mon rêve qui s'écroule,

Et je marche seul dans la noirceur.

 

Elle a les cheveux ondulés et dorés.

Une démarche déterminée et généreuse.

Des mots de sa bouche au passage volés,

Résonnent dans ma tête comme une berceuse.

Comme j'aimerais entendre cette voix,

Que mon coeur trouve si jolie,

Dont le souvenir me remplit de joie,

Jusqu'au crépuscule de ma vie.

 

En secret ! En secret !

Si je pouvais voler son coeur,

Je le ferais ! Je le ferais !

Puisque qu'il n'existe d'éternel bonheur !

Alors, je reste là, seul, dans mon univers.

Attendant son sourire invitant,

Qui fera de moi le plus heureux sur Terre,

Qui fera de moi son amour charmant.

 

Elle en a la maîtrise c'est certain !

Puisque tout me semble déjà beau,

Dès les premières lueurs du matin,

Jusqu'à la fermeture des rideaux.

« Mon Dieu : Comme son pouvoir est grand !

Me libérera-t-elle de mes chaînes un jour ?

Dites-moi que je devrai être patient,

Pour que je puisse enfin espérer son amour. »

 

 

Dédicace : À la femme de mes rêves que je croise de t

emps en temps, sur La Plaza St-Hubert à Montréal !

 

 

Claude Joncas

 

http://www.geocities.com/music_for_ever2001

 

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