L’HUMANITE
Lorsque les aspirations primitives
S’unissent à la lutte d’intérêt
Il ne reste trace de l’amitié
Mon frère…
Tous les comportements vils
Sont à la propre hauteur de l’individu…
Les efforts de nuire
Sont derrière le bon…
Celui qui mène ses affaires égoïstement
Ne peut trouver d’ami
Mon frère…
Tout est sous observation ici-bas
Ce ne sont pas les appareils,
Mais l’être humain qui est déréglé…
C’est le jour de la course
Derrière l’amitié…
La méchanceté ne s’oublie pas
Mon frère…
Certaines créatures ne sont pas
Le mur des lamentations
A s’y retourner pour pleurer…
Les passions
Traînant l’homme derrière elles
Ne sont pas des vaches à lier !
Celui qui à un aveugle pour guide
Ne peut arriver à son but
Mon frère…
Üzeyir Lokman ÇAYCI
Paris, le 22.08.1999
Traduit par : Yakup YURT