Qu’elles s’accrochent
Aux fils minces du temps,
Qu’elles connaissent les profondeurs
De la vie...
Qu’elles arrivent
Aux vues poétiques...
D’ailleurs
Les bruits,
Les amas de poussière
Les mettent mal à l’aise...
Et ce ne sont pas là
Leur seul doute...
Elles n’ont pas de quoi résister
Aux insectes agressifs.
Leurs vibrations cachent
Leur identité
Et leurs mouvements
Leur vertu.
L’intuition de leur amitié
Offre des indices...
C’est à leur place
Qu’elles ne sont belle et significatives…
Ce ne sont pas des jouets
Pour les passions.
Ne touchez pas les fleurs
Pour qu’elles grandissent...
Üzeyir Lokman ÇAYCI Paris, le 08.03.2000 Traduit par : Yakup YURT
|