Dès
que la nuit...
Le feu brûle dans l'âtre.
Ô mon coeur idolâtre
Se réchauffe à ton âme
Et lui parle tout bas .
Douceur de ta présence
Où même tes silences
Me comblent
Et nourrissent chaque heure
Qui passe.
Dès que la nuit se penche
Je ramasse les perles
D'amour
Une à une tombées
Sur la grève des jours.
Marcek 2 février 2003
marcek@wanadoo.fr
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