La
colline de Provence
Toi, la colline que je voyais de ma maison
Toi, la colline qui ne prononcera plus de son
tu as été mortellement touché
Tu me dis adieu comme tu m'as dit bonjour
m'envoyant quelques reflets à la lumière du jour
la nature est en berne et le soleil dépité
fini les fleurs qui voulaient grandir
fini les grillons et leur chant mélodieux
fini l'admiration que j'avais pour eux
par la faute de quelques hommes tu as péri
irremplaçable tu restes et triste je suis
tu es figé, tes yeux sont fermés
la mort t'as envahi, le temps est écoulé
© Nicolas Cotten
nicolascotten2002@yahoo.fr
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