Les
amants
Que faut-il faire
Que faut-il taire
Quand nos chairs
Brûlent de s’unir
Dans l’illégalité
De nos passions
Que faut-il craindre
Que faut-il souffrir
De ma jeunesse d’antan
De ta vieillesse de demain
Qui questionnent l’incertain
De l’avenue du destin
Prenons donc l’amour qui coule
Torrents de source
De tous nos pores excités
Et jouissons sans regret
De ce que nous sommes
De ce que nous ne serons plus
Afin que si en bière un jour
Cet amour que nous craignons tant
Nous laisse après cruels tourments
Ces souvenirs indélébiles
Gravés en mémoire de temps
D’extases inaltérables
Viens, viens ma grande Muse
L’huis de mes envies
Est béante à t’accueillir
En ses chauds intérieurs
Et éclatons-nous d’inconscience
Dans les bras de nous
Fleurs du Mal
ecritsvains21@hotmail.com
Envoyer cette page à un(e) ami(e)
Envoyer un
poème pour parution
Mettre le poème du jour sur votre site
Archive poèmes du jour
00033964
textes des auteurs protégés