Petit chant à la vie



Tous nous avons nos peines à porter,
Nos joies sont là pour nous envoler,
De petits riens qui forment un univers
De douceurs, tel un ciel de mers…

Un jour il n’y aura plus de guerre,
Un jour il n’y aura plus de haines,
Juste passion du cœur à apprivoiser,
Juste miel à faire couler dans du fer.

Tous nous avons à l’âme des peines,
Il faut les laisser cohabiter,
Exister, pour les petits bonheurs laisser
Entrer, pour d’étoiles à l’instant s’envoler

Les peines sont là pour s’exprimer,
Ont différentes formes d’existences,
Sur long chemin, sont les gouttes de rosée
A mieux nous faire apprécier le soleil

Les joies sont là tout simplement en séance,
Enrichies les Rosées qui s’en vont nourrir
Les graines de rêves, en émerveilles
Eclos sans mur, en fleurs vont s’ouvrir.

Un jour il n’y aura plus de mesquineries,
Plus de violence, plus de cris sourds sans espoir
D’entente, plus aucune larmes de sang souillées
Par des psychés déréglés, atteints de folies

Folie de ne savoir exister, raison noire…
Savoir bel amour laisser naître, s’embraser
Dans tous ses atours, laisser voir cette passion
Derrière notre miroir, voila ce qui importe

Folie de se perdre dans tout ce qui fait mal,
De solitude de l’âme en explosion…
Savoir passer murs, pas se perdre en dédale
D’apparence trompeuse, voila qui importe.

Tous nous avons nos peines à porter,
Nos joies sont là pour nous envoler,
De petits riens qui forment un univers
De douceurs, tel un ciel de mers…

Le « petit rien » c’est la coccinelle qui s’envole,
Papillon qui pose un instant sur corolle,
Une filante saluant le voyageur
Posé sur l’herbe, en repos pour l’heure

Le bonheur est tout cela, inextricable,
Bouillonnant et remuant, lumière ineffable,
Dirait celui d’amant souriant à la Vie :
Le bonheur c’est l’amour, pour moi c’est vous ma mie

Le bonheur est tout cela, inextricable,
Bouillonnant et remuant, lumière ineffable,
Bougeant sans cesse, pour père et mère, les enfants
D’amis à parents, sang de toutes les couleurs.

Le bonheur, c’est tout ce qui existe,
C’est vous, nature qui longe la piste,
Il faut juste nous y ouvrir, et accepter
Joies et peines, apprendre le tout à partager.

Il y a aura encore âmes, un jour j’espère,
Etres Humains, pour dire du coeur, grâce sur terre,
Il n’y a plus de guerres, plus de tueries,
Plus de violences sur autrui… « Juste » la vie…



© Pascal Lamachère
p.h.l.31@hotmail.fr


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