Jamais
assez loin
J’ai ce besoin
Inéluctable
De nouvelles villes
D’inaccessibles contrées
De lointains pays
Pour y traîner
Ma Douleur
Qui gîte en mes valises
Et me perdre
Au milieu de foules
Impassibles
Au sourire ineffable
Et factice
Qui me bouffent
Comme l’onde son noyé
Et qui le gerbe
Putride charogne
Sur les vastes plages
De la solitude
© Fleurs du Mal
ecritsvains@hotmail.com
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