Dans la grande ville
teintée
de clair-obscur
s'en vont
martelant
le trottoir cabossé
et dégarni
des ambitions
une infinitude
qui donne
a la cité
des odeurs
suffocantes
de souffre
et d'ennui
la messaline
a troqué
ses
atours de vice
et se glisse
dans un dernier bâillement
dans ses parures de jour
tels ces démons
qui n'ont point besoin
des voluptueux reposoirs
de
Morphée
ses yeux rougis
par le vin
et la débauche
se hausse
sur son coursier
frais du matin
et emprunte les chemins
que prennent les aiguilles
de l'horloge
© latifa
Latifa47@hotmail.com
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