Oraison
Mon computer est mort et me laisse éperdu
Douleur ! Ô désespoir ! au loin sans vos écrits
Délaissé je me sens, mon esprit erre, perdu
Mon âme vagabonde, entendez-vous ses cris
Mon computer est mort, j’en reste abasourdi
Victime d’un virus qu’un complot a ourdi
Il est déboussolé, j’en suis désespéré
Je suis las, écœuré, mon cœur a de la peine
Et des heures s’écoulent et le temps passe et dure
Chers amis de la toile, honnie soit ma déveine
J’attends, j’attends toujours, ma solitude perdure
Compagnon de mes jours, de mes nuits, de l’éveil
Il me manque à jamais, j’avais tant espéré
Mon computer est d’or, j’espère en son réveil
Sonnet alterné par Cépygé. X
Les Maissineries III.20
pisouone1@swing.be
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