Une certaine fin des fins
Mais que se passe t-il donc pour mériter cette femme ?
Qu’ai je à dire qu’ai je à faire qu’ai je à rien,
Pour un oui pour un non et voilà cette flamme,
Qui s’enflamme pour brûler vif ce vaurien.
Un vaurien rien de plus dans un commun mode
De vie et de survie , en toute naïveté pour un surplus,
Sans tête , ni queue et qui n’avance sans électrodes,
Ce n’est pas un robot mais un humain rien de plus.
Alors la faute incombe à qui ; à moi ? pardi ?
Et si je le jure au nom de tous les Saints,
Me croirez vous si je dis tout est rose en ce paradis
Vous me répondriez que je suis un fou sans desseins !
Mais bien sur, j’y suis et j’y reste jusqu’à la mort,
Suivant son destin de petit bonhomme honnête,
Qui ne demande qu’un peu de repos sans tort ,
Pour assouvir son âme déchue de cette crête.
Pour la divague , j’y suis et pourtant je la hais,
Contraignant mon esprit à certains heurts,
Qui remplissent de rage mon cœur de paix,
Ne cherchant que le Salut de l’Éternel sans peur.
© ALI JAOUI
alijaoui@hotmail.com
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