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© 2000 Bruce DeBoer


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textes des auteurs "protégés"

 

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Poèmes du jour publiés 
en mars 2008


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Tout fier, le pif au vent, assis chez Raguenaud,
Un homme composait, en chatouillant la muse
De son nez, oh ! pardon ……oh ! pardon, je m’excuse,
De son illustre nez. C’était bien Cyrano.

Cyrano Savinien, enfant de Bergerac
Issu du Périgord, des flots de la Dordogne,
Belliqueux, plein de fougue, à l’Hôtel de Bourgogne,
Il était passé maître et dieu du tic-au-tac.

Loyal, honnête, franc et toujours sans louis,
Fanfaron tant soit peu, comme un gascon doit l’être,
S’enivrant de bravade à l’odeur du salpêtre,
Il tirait son fleuret, pour des nons, pour des ouis.

Sur les champs de carnage, il était un lion,
Tout recouvert de sang, à l’assaut des murailles,
Stimulant ses cadets, il bravait les mitrailles,
Mais pensant à Roxane, il devenait mouton.

Que de fois, une larme, en sillonnant son pif,
Séchait avant d’atteindre une seule virgule
D’une page traitant de lune ou canicule ;
Il regardait ce nez d’un oeil vindicatif.

Cette larme effleurait cette puissante horreur,
Et venait se tarir au milieu de sa course,
Il aurait tant voulu l’arrêter à sa source.
Ah ! c’est trop, disait-il avec un ton d’aigreur.

Dessiné sur le mur, il voyait son profil,
Qu’il disait que c’était un perchoir d’hirondelles,
Pour fuir à ce spectacle, il soufflait les chandelles,
De son visage moite, il cachait ce nez vil.

Son feutre de travers, il se levait disant,
Mû par un saint courroux : « Des beaux traits de ton maître,
Tu détruis l’harmonie, ah ! rougis donc oh ! traître,
Non, non ne rougis pas, tu deviens repoussant. »

© Christian Cally 2004 


 

 

 

Je me tiens au dessus de ces corps
Au beau milieu des feux croisés
Je vois ces hommes emportés par la mort
Tous ces blessés qui ne peuvent que crier

Je vois le ciel...

Je vois des vies s'affaiblir sous mes yeux
J’entends les armes étouffer leurs adieux
Je vois le sang couler sur la terre
J'entends ces jeunes qui rêvaient d'être père

Je sens le froid...

Maintenant seulement je comprends
Je ressens la douleur des autres
Il est trop tard je vois le rouge de mon sang
Cette guerre n'a jamais été notre

Je vis la mort...

© Idriss TS


 

 

 

Un court instant
Une inspiration
Un vertige dans la pièce.
Plus de mots, alors
Que l’enfance revient,
On sent monter aux lèvres
Un sourire.

Un court instant
craquer l’allumette
juste pour être heureux
jouer la désinvolture
balancer la lumière.
Le bruit décomposé
De la mèche

Un court instant,
D’abord l’odeur,
Un léger flottement
Des silhouettes.
Un jus délicieux
De mélancolie,
Les yeux luisent.

Un court instant,
Oublier dans la joie
La douleur d’être homme
Attendre le rêve
Dans la molle fluidité
Du corps sans hâte,
Des ombres dans la main.

La lampe veille sans peur
Un court instant
Dans la nuit profonde
Sur l’autre versant
De l’horloge.
La douceur a soudain
Le goût du pain.

 

© Joelkerdraon


 

 

 

petite fille dénudée
cherche partout, fleurs de magnolia
pieds nus, a l'aube du jour
sable chaud, oh ! lumière resplendissante
si tu avais le don
viens combler mon offrande musicale
« oh camino, oh camino » mon hymne a la charité
exulte, enfant des collines sur tes remparts ardents
une pluie, si tu avais le don
une eau frémissante, comble ma grâce
main de l'espoir, celle que l'on attends plus
deux points d'eau, fontaine de jouvence
« oh ! camino, oh camino »
fertilise le sol, embellit le village
brillante comme un cristal
pureté, augmenter cet éclat.
pour une petite fille qui jamais ne la voit
« oh camino, oh camino »

 

© Eric Noel


 

 

 

Non le déroulement d’une vie sans terre
Non plus non le fil qui nous relie
Pas encore ces mots du fond de ma béance
Non plus non ces mots toujours trop courts
Par où commencer
Prendre le train en marche
Sur la piste aux étoiles
Ressenti délaissé

Rouge, beige, vert peut-être
Cadeau – n’y aurais pas pensé
Souvenir c’est comme ça que j’avance

Tout mettre en cartons, recommencer toujours
Ranger sous forme vague et penser à demain
N’arrive plus à concret, à fait, tourné court
Car tu es bien trop... pour…
Peur
Avouer
Implicite

Je lis et je relis
Je suis végétative
Contemplative fervente

C’est sur le bord de l’arche
C’est sous les gros cailloux
Éboulement de moi-même
Et si j’étais partout ?

J’espère et ne vois rien
Le bout des doigts très froid
Le bout du reste dore
Je suis une immersion dans une vie autre, égale

Je suis végétative
Fervente observatrice
Circulez et pourtant
Je reste là
Espère

Le moment sera venu
L’instant cristallisé
Une main sur une autre
Début stigmatisé
Circulez et pourtant
Je suis ici aussi

Un trou dans mes vêtements
Et les pieds nus au sol
Je suis pauvre et immense
J’ai droit à tous les rêves
Ce jour qui me regarde, contemplative patiente
Semée d’injonctions vides à prendre une patente
Un brevet d’amour dingue
Un regard suffirait
Mais c’est sur ces idées que je construits mon monde.

 

© Alexe


 

 

 

Le ruisseau serpente,
Le serpent d'eau ruisselle
Vers sa proie rainette

Amour désabonné
Au répondeur de ton coeur,
Ô désespoir !

L'oeil sombre et ombrageux
Vitupère en silence,
Jalousie !

On Tourne le Dos
A Donald, qui fait son Mac,
Et ça s'efFrites

De ton désamour
La vrille a percé mon âme,
Au feu les copeaux.

Canines de vampire,
Tes crocs d'ivoire
Mordent dans mon âme

Ariane bobinait,
Le Minotaure se Thésée,
J'ai perdu le fil.

Ta langueur monotone
Ne berce plus mon coeur,
Ou sont les violons ?

© Georges


 

 

 

Dessine-moi le chemin qui mène à Olympe
Afin que nous y trouvions, ce havre de paix
Donne-moi ta main, qu`avec toi, je grimpe
Cette belle montagne où près de toi, je vivrai.

Si l`amour est immortel, il est de ce massif
Où les dieux grecs séjournent, pour l`éternité
Fais-moi découvrir enfin, un spectacle lascif
C`est mon coeur que tu pourras alors, immoler.

Le temps s`arrêtera à tout jamais, pour nous deux
Je deviendrai si tu le veux, l`ombre de ton ombre
La belle princesse, dont tu es depuis amoureux
Je ne plongerai plus dans un moment très sombre.

Je ferai l`offrande de ma vie à un dieu antique
Zeus, sans que pour autant je ne sois, Héra
Ce lien qui nous unit à un doux côté mystique
Après la mort, notre histoire encore survivra.

En notre doux printemps, je brode l`avenir
Ce soir, je ravive la flamme de notre amour
Je ferme les yeux, il n`est pas l`heure de partir
Porte-moi dans tes bras et ce pour toujours.

Le monde visible et l`invisible se côtoient
Pour le moment, nous y tenons certes, un rôle
Tu es réellement en moi, comme je suis en toi
Ici ou ailleurs, je me tiendrai contre ton épaule.

© Voltige


 

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Bon mois de mars,
Pascal Lamachère

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