QUE LES PAGES PLEINES DE POEMES

NE TOMBENT DE TES MAINS

 

A la tombée d'un soir

Quand j'ai senti ton existence

Pour la première fois

Ces pages pleines de poèmes

Etaient tombées de tes mains.

 

Un vent les avait emportées

J'avais couru à leur poursuite.

C'est comme si les sentiments

S'envolaient vers moi à pas de course

Pendant que je courais avec le vent

Dans la profondeur du soir…

 

Il y a une photo en toi et en moi

De cet endroit-là

Et un souvenir tout propre

De mes sentiments débordant de poèmes.

 

Üzeyir Lokman ÇAYCI

uzeyir.cayci@wanadoo.fr

poesie.etoile@wanadoo.fr

 

Traduit par : Yakup YURT

 


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