Tout mon corps entier cri,

Cette envie de toi,

Qui n'en fini pas,

La moindre petite parcelle de mon corps te réclame,

Corps et âme,

Je veux me blottir au creu de ton corps,

Sans aucun remord,

Encore et encore,

Mon coeur sans toi s'endort,

Je veux le réveiller,

A l'assaut de tes baisers,

Sentir ta langue caline,

Qui se glisse près de la mienne mutine,

Et sentir ainsi le désir qui nous chavire,

Et déchire,

Notre raison,

Pour de bon,

L'instant toujours trop bref d'une journée,

Une journée à s'aimer,

Pour toi, je me suis faite belle,

Mes seins rebelles,

T'appellent,

Alors, tu poses sur eux une tête hésitante,

Et tu te laisses bercer,

Par ce doux bonheur retrouvé,

J'aime cet instant là,

Quand je te sents abandonné dans mes bras,

Tu n'es rien qu'à moi,

Je sents que tu as tellement besoin d'être simplement là,

Réfugié tout au creux de moi,

Pour simplement oublier,

Le passé,

Et pour te noyer dans cet océan de bonheur,

Que l'on s'offre sans erreur,

Moi aussi je suis bien,

Mon coeur près du tien,

Je prie seulement tout bas,

Que ce doux instant n'en finisse pas,,

Et mes larmes bohèmes,

Coulent et se promènent,

Sur mes joues,

En pensant à nous,

J'aimerais être ta femme,

Et balayer ainsi tous les drames,

Qui ont jalonnés nos vies,

Et vivre désormais dans notre paradis,

Englouttis dans notre amour,

Jusqu'à la fin de nos jours,

Et bien au-delà encore,

Car, décidément, je t'aime bien trop fort.

 

 

Juin 2002

 

 

Françoise Bexiga

 

 

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