Sur les berges du lac |
L'amour
c'est nous
La pluie
Cadavre exquis
campagnard
Une
histoire
d'été
(Il suffit d'écrire une phrase à la suite, si elle est retenue elle sera mise en ligne, alors n'hésitez pas… vous pouvez aussi lancer un nouveau poème à plusieurs si vous avez quelques lignes d'inspiration)
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Sur les berges du lac, quelques petites vagues
titillent des pieds nus, tracent leurs contours...
Pascal (thorgal_le_poete@caramail.com)
Ces traces sur le sable des berges du lac
Etonnent les villageois plus habitués à l'eau calme !
La mer serait-elle donc arrivée jusque chez eux ??
Moun (motsducoeur@yahoo.fr)
Vagues frisées par les marées Konfetti (auquotidien@be.tf) Tels de lancinants souvenirs, Loin de tout, Finrod Felagund (Lord_Finrod@hotmail.com)
"Si un jour tu as perdu ton bonheur, cherches le au profond de ton coeur. Sherif Banhawy (Sbanhawy@hotmail.com)
Répandent leurs boucles écumeuses
Tressées d'algues et de sel
Sur le sable endormi
Rappelant de délicieux soupirs,
Bruissent les vagues derrière moi,
Effaçant nonchalemment mes pas.
Près de soi,
Se redécouvrir,
Puis s'enfuir.
Si un jour tu as perdu l’espoir, cherches le dans chaque coin de ta mémoire."
Ces pensées inspirées par le mouvement des vagues
M'amènent au delà du temps, au delà de tout.
Je regarde le miroir, les villageois...
Je traverse, je plonge au fond du lac...
Voyage avec eux vers la abysses... qu'y trouverons nous ?
Pascal (thorgal_le_poete@caramail.com)
Ces vagues sont les sentiments de mon âme,
Parfois joyeuses, souvent mélancoliques.
Qui apaisent ou alors de colère s'arment
Dans leurs belles danses aux aspects idylliques.
Elles sont moi, comme elles sont toi,
Simplement si humaines qu'on voit
Dans leurs teintes s'élever le chant
D'un être qui vit avec le vent.
Dolly (dolly_baazul@yahoo.fr)
Je m’assieds, seul, le soir, sur la plage de ma vie,
Et je sens les souvenirs déferler vers moi.
La féerie du crépuscule nourrit ma rêverie:
Je te revois, dansant, quasi nue devant moi.
Je caresse cette vague et déjà, elle repart,
En laissant des frissons de plaisir sur ma peau,
Puis une autre me rappelle ces attentes sous la gare
Ou ce premier baiser échangé dans un slow...
La mer gonfle et la houle vient briser à mes pieds
Nos études, nos fous rires, nos angoisses, nos passions,
Nos voyages, nos disputes, nos absences, nos projets:
Je voudrais les garder, mais ils glissent et s’en vont...
Comme moi, comme toi: la marée nous charrie;
Nous allons, nous venons, éloignés, rapprochés,
Sans savoir quel destin nous a tissé la vie,
Et n’ayant qu’une étoile, l’amour, pour nous guider.
Mais déjà, le ressac s’aplanit, le jour point:
Je regarde le soleil cuivrer la mer étale,
Les souvenirs s’estompent et font place au chagrin
Qui fait naître en mon coeur les tourments de Tantale.
Quel secret gardes-tu tout au fond de ton cœur? Marc (Marc.florian@caramail.com) Que puis-je te répondre que tu ne connais déjà! Oram (oram@skynet.be) Nous pouvons nous perdre sur l'autel des élans, Je reprend à l'or le calame pour à la vie Pascal
(p.h.l.31@hotmail.fr)
Pourquoi ne veux-tu pas partager avec moi?
Pourquoi ne me dis-tu pas ce qui te fait peur?
Pourquoi ne sauves-tu pas ton désir qui se noie?
Si mon âme se noie dans le miroir des illusions
A qui la faute sinon qu'à moi.
Les eaux tranquilles de ce lac endormi
Témoigne hélas de mes espoirs évanouis
Seules quelques larmes rejoindrons les abysses
De ce monde où se perdent les couleurs du temps
Qui fut et ne sera plus....
L'univers n'en continuera pour autant d'évoluer
Les beautés et les rêves de fleurir.
Des maux, des cris sourds soyons repus,
Reprend ton baluchon des rêves à réaliser,
La raison murmure à mon âme qui cherche sourire.
Amener les rêves...
Les vagues se transforment en rouleau d'Amour
Une nymphe
C’est Viviane, la fée
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Elle brandit l’épée
Du roi des Orchidées
Elle chante la ballade
Des sirènes de jade
Les flots rient et s’éveillent
Devant tant de merveilles.
Le dormeur près du lac
Ne sait plus si il rêve
Ou si c’est une trêve,
Il sourit à la fée
Il l’emmène danser
Sur les flots azurés,
Ils composent des mots
Ajoutent des sanglots
Ou bien de joyeux rires
Pour repousser le pire.
Melmiriel © : mercredi 4 décembre 2002
(melly@club-internet.fr)
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